De schisme en schisme

Non ce n’est pas un plan de métro, mais l’arborescence des schismes de la chrétienté. Ce serait le fils de Dieu qui serait à l’origine de l’église chrétienne. On aurait pu s’attendre à un édifice solide, universel pour traverser les siècles, mais pas du tout ça part dans tous les sens. Ca se divise , souvent en occasionnant des bains de sang et des torrents de haine. Une création divine n’aurait-elle pas pu être protégée par ce dieu parfait et tout puissant pour éviter pareil bordel ?
Source: Facebook/L’athée Rapie/Jacques Laigneil
Commentaire repéré :
« Une grosse majorité des croyants ne remet jamais sa foi en cause : il croit bêtement, parce que cela lui permet de ne pas trop penser ! Il n’a pas besoin d’arguments, il a des certitudes incrustées dans son cerveau ramolli qui lui disent qu’il existe un être invisible, impalpable et lunatique qui a tout créé, qui peut tout détruire, … sauf ceux qui lui vouent un culte »
« Critique de la religion : une imposture morale, intellectuelle et politique » par Yvon Quiniou
Dans cette conférence Yvon Quiniou présente l’essentiel de sa réflexion issue de son livre Critique de la religion (La vile brûle). Celle-ci, distinguée de la foi subjective, y est considérée comme une imposture qui n’apporte pas ce qu’elle prétend apporter : ni le vrai, ni le bien, ni un quelconque progrès politique. Ce procès s’appuie sur la philosophie des Lumières (Spinoza, Hume, Kant) qui a critiqué les religions positives au nom d’une religion idéale fondée sur la raison. Mais il se prolonge surtout à travers l’explication critique qu’en ont fourni les penseurs du XIXe siècle : Feuerbach, Marx, Nietzsche et Freud, qui l’ont réduit à un phénomène strictement humain avec ses méfaits propres, dans l’ordre vital, psychologique, social et politique. S’ensuit l’idée que, dans le respect de leur existence, il faut envisager leur dépassement si l’on veut émanciper l’homme sur tous les plans. L’actualité tragique de notre époque ravive malheureusement cette exigence.
Vidéo de Nantes Univ 60 min en français