Des livres de 0 à 3€, pour s’instruire sur la question de dieu …..

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Le mensonge universel Chaîne YouTube « Philippe Huelux » en français de 1h33
Le mensonge universel Chaîne YouTube « Le jardin des livres » en français de 34 min
« Le Mensonge Universel » par Pierre Jovanovic
Le texte sumérien qui a servi à composer le jardin d’Eden et comment il a été modifié par l’auteur de la Bible pour nous culpabiliser
Le plus grand mensonge de l’histoire des religions est celui du Livre de la Genèse dans lequel il est écrit qu’Eve est née d’une côte d’Adam, et qu’à cause de la pomme mangée dans le jardin d’Eden, elle a conduit l’Humanité à sa perte.
Pourtant, une tablette sumérienne (antérieure de 1500 ans à l’invention de l’écriture hébraïque) prouve que le rédacteur du Livre de la Genèse a plagié le texte et l’a modifié pour exclusivement se venger des femmes.
– Le « serpent » était en réalité un conseiller qui a encouragé un dieu à séduire des jeunes déesses.
– Ce dieu s’était empoisonné dans un jardin en mangeant des plantes.
– Il a été maudit par une déesse. Et bien-sûr :
– De la côte de ce dieu est née… une autre déesse.
Conséquence de ce plagiat soi-disant dicté par Dieu à Moïse, et universellement répandu par les Hébreux, par saint Paul et par saint Augustin : les prêtres, les rabbins et les imams ont avili, culpabilisé et manipulé hommes et femmes en brandissant le « péché originel » accusateur qui, finalement, n’est qu’un pur mensonge.
Le Mensonge Universel comprend l’analyse du texte sumérien, son historique, l’adaptation littéraire, la table des correspondances, et bien-sûr la traduction de la tablette originale, réalisée par un grand spécialiste, le Pr. Attinger, assyriologue de l’Université de Berne.
Un livre majeur qui révèle le plus grand mensonge de l’histoire judéo-chrétienne, encore utilisé aujourd’hui pour culpabiliser et contrôler les croyants.
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gratuit en accès libre sur egoogle

» Pourquoi je suis devenu athée » par Pascal Masi
Le cheminement intellectuel et spirituel d’une conversion. Peut-on se convertir à l’athéisme ?
S’appuyant sur son parcours personnel, Pascal Masi examine, dans une langue accessible à tous, l’itinéraire qui l’a mené d’une foi chrétienne à un athéisme assumé. Un basculement qui aura pris trente ans.
Pour en expliquer les étapes, l’auteur revisite à la lumière des savoirs du XXIe siècle chaque verset du Notre père. Cet examen sans concession du texte biblique constitue la trame de ce récit.
C’est pour l’essentiel la démarche scientifique qui lui sert d’outil conceptuel pour interroger les affirmations qui sous-tendent le Notre père.
A mi-chemin entre témoignage et essai, le travail de Pascal Masi aboutit, étonnamment peut-être, à la construction d’une spiritualité différente et incontestablement athée. Ce qui l’amène à achever son récit par la formulation d’un texte alternatif qu’il nomme Prière de l’athée.
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Douze preuves de l’inexistence de Dieu
par
SEBASTIEN FAURE
1908
Douze preuves de l’inexistence de Dieu, par Sébastien Faure
gratuit, libre de droits sur wikisource
ou
le tract en format PDF (téléchargement gratuit)
Note de la rédaction: Voici un lien en lecture libre pour s’informer sur les contre-arguments des religieux, cela fera sourire plus d’un athée !
http://www.dominicainsavrille.fr/on-nous-ressort-sebastien-faure/


« Douze preuves de l’inexistence de dieu » par Sébastien Faure
Réédition digitale du livre paru pour la première fois en 1908 avec biographie
Il y a une seconde façon d’étudier et de tenter de résoudre le problème de l’inexistence de Dieu. Celle-là consiste à examiner l’existence du Dieu que les religions proposent à notre adoration. Se trouve-t-il un homme sensé et réfléchi, pouvant admettre qu’il existe, ce Dieu dont on nous dit, comme s’il n’était enveloppé d’aucun mystère, comme si l’on n’ignorait rien de lui, comme si on avait pénétré toute sa pensée, comme si on avait reçu toutes ces confidences : Il a fait ceci, il a fait cela, et encore ceci, et encore cela. Il a dit ceci, il a dit cela, et encore cela. Il a agi et parlé dans un tel but et pour telle autre raison. Il veut telle chose, mais il défend telle autre chose ; il récompensera telles actions et il punira telles autres. Et il a fait ceci et il veut cela, parce qu’il est infiniment sage, infiniment juste, infiniment puissant, infiniment bon ? À la bonne heure ! Voilà un Dieu qui se fait connaître ! Il quitte l’empire de l’inaccessible, dissipe les nues qui l’environnent, descend des sommets, converse avec les mortels, leur confie sa pensée, leur révèle sa volonté et donne mission à quelques privilégiés de répandre sa Doctrine, de propager sa Loi et, pour tout dire, de le représenter ici-bas, avec pleins pouvoirs de lier et de délier, au ciel et sur la terre ! Ce Dieu, ce n’est pas le Dieu Force, Intelligence, Volonté, Énergie, qui, comme tout ce qui est Énergie, Volonté, Intelligence, Force, peut être tour à tour, selon les circonstances et par conséquent indifféremment, bon ou mauvais, utile ou nuisible, juste ou inique, miséricordieux ou cruel ; ce Dieu, c’est le Dieu en qui tout est perfection et dont l’existence n’est et ne peut être compatible, puisqu’il est parfaitement juste, sage, puissant, bon, miséricordieux, qu’avec un état de choses dont il serait l’auteur et par lequel s’affirmerait son infinie Justice, son infinie Sagesse, son infinie Puissance, son infinie bonté et son infinie Miséricorde. Ce Dieu, vous le reconnaissez ; c’est celui qu’on enseigne, par le catéchisme, aux enfants ; c’est le Dieu vivant et personnel, celui à qui on élève des temples, vers qui monte la prière, en l’honneur de qui on accomplit des sacrifices et que prétendent représenter sur la terre tous les clergés, toutes les castes sacerdotales. Ce n’est pas cet « Inconnu » cette Force énigmatique, cette Puissance impénétrable, cette Intelligence incompréhensible, cette Énergie incognoscible, ce Principe mystérieux : hypothèse à laquelle, dans l’impuissance où il est encore d’expliquer le comment et le pourquoi des choses, l’esprit de l’homme se plaît à recourir ; ce n’est pas le Dieu spéculatif des métaphysiciens, c’est le Dieu que ses représentants nous ont abondamment décrit, lumineusement détaillé.
C’est, je le répète, le Dieu des Religions, et, puisque nous sommes en France, le Dieu de cette Religion qui, depuis quinze siècles, domine notre histoire : la religion chrétienne. C’est ce Dieu-là que je nie, et c’est celui-là seulement que je veux discuter et qu’il convient d’étudier, si nous voulons tirer de cette conférence un profit positif, un résultat pratique

« Douze preuves de l’inexistence de dieu » par Sébastien Faure
Réédition digitale du livre paru pour la première fois en 1908
Camarades, il y a deux façons d’étudier et de tenter de résoudre le problème de l’inexistence de Dieu. La première consiste à éliminer l’hypothèse Dieu du champ des conjectures plausibles ou nécessaires par une explication claire et précise par l’exposé d’un système positif de l’Univers, de ses origines, de ses développements successifs, de ses fins. Cet exposé rendrait inutile l’idée de Dieu et détruirait par avance tout l’échafaudage métaphysique sur lequel les philosophes spiritualistes et les théologiens la font reposer.
Or, dans l’état actuel des connaissances humaines, si l’on s’en tient, comme il sied, à ce qui est démontré ou démontrable, vérifié ou vérifiable, cette explication manque, ce système positif de l’Univers fait défaut…

« pas de croyance, pas de foi » par E.M.Cardoso (3 livres )
L’objectif du texte est d’offrir des références qui ne sont pas seulement valides, mais également réfléchissant qui permettent de nier les croyances religieuses et de la foi. Questionner si provoquent ou non la séparation entre les peuples, semant l’intolérance, la désunion et les conflits dans l’humanité.
Par des phrases courtes, des citations et des questions qui favorisent la réflexion, le lecteur est amené à réfléchir à ce qui est bon pour chacun, en utilisant ce qui lui est inhérent: la raison. Sur plusieurs pages, trois points d’interrogation (???) peuvent être trouvés, indiquant que l’on est confronté à une question en dépit d’être une affirmation, car ce que l’on veut, c’est la pondération. Le livre adopte une approche sceptique et positive qui, en plus d’essayer de garder l’esprit ouvert, part du principe que faire du bien aux êtres vivants, ne pas leur préjudice ni faire le mal, ne dépend pas d’avoir une foi religieuse.
De nombreuses questions sont présentées, par exemple:
– Il y aurait de nombreux dangers liés à la voie religieuse, étant donné que la religion peut séparer le groupe humain qui y est reconnu, en s’opposant à ceux qui mettent en pratique une autre fois. Toute croyance, dans la mesure où elle définit et différencie une communauté humaine, pourrait servir de justification à un conflit qui l’oppose à d’autres groupes humains de pratique religieuse différente. Comme la guerre, la religion peut être vécue comme une manifestation violente de solidarité collective.
– La croyance en Dieu serait née, avant tout, de la peur. Plus que la peur, l’être humain désespéré devant le monde trouverait du réconfort en Dieu, qui représenterait la figure d’un père protecteur. Ce serait alors à l’être humain de revendiquer sa liberté en niant Dieu; car si l’être humain est libre, alors il doit se distancier de celui qui, par l’optique religieuse, manipulerait la marionnette.
– Certes, la peur, la culpabilité et la punition sont une triade historique présente dans les processus de nature religieuse, qui se caractérisent par l’endoctrinement, la manipulation et l’exploitation des êtres humains. Ensuite, les religions, surtout monothéistes, seraient utilisées pour légitimer la corruption, pour dominer selon une morale contraire à la nature humaine. Ils n’auraient servi qu’à tromper l’humanité. Ce sont des institutions de répression et de corruption, qui organisent l’illusion des masses.
Ce sont des pensées comme celles-ci que nous retrouverons à chaque page, qui visent à remettre en question nos convictions. Ce que le texte cherche, c’est que nous pensions par nous-mêmes et non comme le pense l’auteur. C’est une excellente occasion pour nous d’exercer un scepticisme rationnel basé sur un doute sain qui nous conduit à clarifier ou à déconstruire ce qui est potentiellement ou indéniablement nuisible.
3 parties:
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LES CRIMES DE DIEU
par
SEBASTIEN FAURE
L’Action syndicale, 1908
« Les Crimes de Dieu » par Sébastien Faure (gratuit)
Dieu a tué 2,8 millions de personnes dans la Bible . Les justifications morales de ces meurtres divins de masse sont souvent faibles, voire inexistantes. Parmi ces morts , il y a 160 meurtres directs ( des personnes que Dieu a tuées lui-même ) et 2 821 364 morts indirectes que Dieu a orchestrées ou auxquelles il a participé. Le déluge par exemple fit pas mal de victimes : » Je ferai pleuvoir sur la terre quarante jours et quarante nuits , et j’exterminerai de la face de la terre tous les êtres que j’ai fait » assène Dieu dans la Genèse
Un commentaire de Hardwiller répéré sur Babelio:
Dans le cas ou existerait ce qu’on nomme Dieu , qui parait-il nous aurait légué des commandements , on peut s’interroger pour savoir si lui même les respecte .
le commandement le plus litigieux : TU NE COMMETTRAS PAS DE MEURTRE
Le lévitique répond : Quand un homme couche avec un homme comme on couche avec une femme , ce qu’ils font tous deux est une abomination ; ils seront mis à mort , leur sang retombe sur eux . Cela enfreint en même temps cet autre recommandation : TU AIMERAS TON PROCHAIN COMME TOI-MÊME .
Il ressort de ce seul exemple que comme très souvent ceux qui prêchent l’exemple ne le respectent pas eux-même .
Sébastien Faure démontre ici que si Dieu existait , devant le tribunal des assises , il serait condamné à la peine maximale pour de multiples meurtres , ne serait-ce que celui des soldats poursuivant Moïse et que Dieu aurait noyés quand les flots se refermèrent sur eux .

De l’origine des espèces, par Charles Darwin
« L’Origine des espèces » (On the Origin of Species) est un ouvrage scientifique de Charles Darwin, publié le 24 novembre 1859 pour sa première édition anglaise sous le titre « L’origine des espèces au moyen de la sélection naturelle ou la préservation des races favorisées dans la lutte pour la survie ». Cet ouvrage est considéré comme le texte fondateur de la théorie de l’évolution. Dans ce livre, Darwin présente la théorie scientifique de l’évolution des espèces vivantes à partir d’autres espèces généralement éteintes, au moyen de la sélection naturelle. Darwin avance un ensemble de preuves montrant que les espèces n’ont pas été créées indépendamment et ne sont pas immuables.
Ce livre est une œuvre du domaine public éditée au format numérique sur Kindle. le téléchargement est gratuit
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De l’origine des espèces (Wiki)