Qu’est-ce que l’athéisme ?

Le bonheur et la liberté de ne pas croire

L’athéisme offre la paix et la sérénité de l’acceptation du monde tel qu’il est, au lieu de la folie collective, de l’ignorance voire de l’idiotie qui découlent de la tentative de comprendre le monde à travers une interprétation douteuse d’une collection ancienne et non pertinente de contes de fées.

Vous me demandez pourquoi je suis athée ? alors que …

 

vôtre dieu permet les sacrifices de sang, l’asservissement des femmes, la faim, les souffrances dues aux maladies et handicaps, le massacre de multitudes, les conversions forcées, les mutilations génitales, les viols, le meurtre de son propre fils, le génocide par le déluge …. et son grand final serait  de détruire le monde et tous les habitants de cette terre par le feu.

Etre athée, c’est très réconfortant.

Quand les gens demandent à un athée « que pensez-vous de ce qui se passe quand vous mourrez ? ». Évidemment, personne ne le sait avec certitude, mais les seules évidences sont celles que l’on constate: c’est-à-dire il ne se passe rien, enfin quasiment rien, un tas de poussières si on se fait incinérer, un bon repas pour les vers si on se fait enterrer et quelques os pour la postérité.

C’est exactement comme avant la naissance. Rien. Pas de stress, pas de soucis, pas de factures, pas de colère, rien. C’est comme être endormi sans rêver, sans douleur. Pas de contes de fées, pas d’enfer.

L’athée aime vraiment la vie, il ne veux pas qu’elle s’arrête de sitôt, mais l’idée de ne rien avoir après la mort est très réconfortante.

 

JE SUIS ATHEE, Cela ne signifie pas que …

     … je suis amer ou malheureux.

     … je pense tout savoir.

     … l’athéisme est ma religion.

     … je suis haineux.

 

JE NE SUIS PAS ATHEE  parce que je pense que …

      … c’est cool.

     …  je suis en colère contre Dieu pour quelque chose de mal qui m’est arrivé.

     …  je préfère Satan.

     … je veux pécher.

     … d’autres athées m’ont fait un lavage de cerveau.

 

 

Je suis athée parce qu’après avoir soigneusement analysé la question

Je ne vois aucune preuve de l’existence d’un dieu quelconque

et je ne vois aucune bonne raison de croire à l’existence d’un dieu.

homer pourquoi je suis chrétien

 » Ceux qui aujourd’hui sont croyants et pratiquants ont massivement été socialisés à la religion dans leur enfance « 

Pierre Bréchon

Source: La transmission des pratiques et croyances religieuses d’une génération à l’autre, Revue de l’OFCE 2018/2 (N° 156)

Si vos parents sont chrétiens, vous allez croire que …
    … le christianisme est la vérité.
Si vos parents sont juifs, vous allez croire que …
     … le judaïsme est la vérité.
Si vos parents sont musulmans, vous allez croire que …
     … l’islam est la vérité.
 
La foi ne concerne pas la réalité, elle concerne la conformité dans un groupe social et un endoctrinement réussi. Il s’agit juste d’un hasard de naissance, de parents et de géographie.
 
Si vos parents sont athées, vous allez croire que …
     … l’athéisme est la vérité.
 
A la différence que:
 
L’athéisme n’est pas une croyance,  c’est une absence de croyance.
Ce n’est pas une religion. C’est l’absence de religion.
C’est tout simplement une conviction, que rien ne démontre l’existence d’un quelconque dieu.

dieu ?

La philosophie débat sur lui

Les mathématiques l’ignorent

La climatologie n’en a pas besoin

La cosmologie réfute sa création de la terre en 6 jours

Les sciences physiques ne le trouvent pas

L’engineering réfute son arche de Noé

La génétique réfute son dessein intelligent 

La biologie le contredit et réfute Adam et Eve

Les statistiques réfutent l’efficacité des prières envers lui 

La logique en déduit son inexistence

 

camembert athée

Vidéos

Pourquoi je suis athée

Pour de multiples raisons, et pour la raison  >>>

Vidéo de la chaîne YouTube « Aldreius » de 6 min en français

Je dirais que mon athéisme repose sur des arguments philosophiques, scientifiques et moraux. (Je vais les expliquer très succinctement, mais je pourrais longuement les développer) 1) Mon athéisme philosophique -Expliquer avec de l’inexplicable, ce n’est pas une explication sérieuse. -La croyance est par définition dans le domaine de l’irrationnel. -Les divers dieux des divers religions ou pas n’ont aucune preuve de leur existence, il faut y « croire », faire acte de « foi ». -Il y a des différences fondamentales entre ce qu’est une croyance, ce qu’est une pensée rationnelle, et ce qu’est une connaissance scientifique. -Les religions dissuadent d’user d’esprit critique. 2) Mon athéisme scientifique -La compréhension scientifique de notre monde amène de plus en plus l’idée que les dieux, religions, croyances et superstitions, ne sont que pures inventions humaines qui s’expliquent de façon rationnelle. Les dieux n’étant que des créatures imaginaires parmi bien d’autres. -Les divers récits sacrés supposément d’origine divine sont contredits frontalement par les connaissances scientifiques, et sont donc à considérer comme des mythes. (par ex. selon la science et contrairement à ce que prétendent certaines religions; Non la Terre n’est pas plate; non la Terre n’est pas vieille de 6000ans; non les humains ne sont pas apparus d’un seul coup; non une mer ne peut pas s’ouvrir en deux; non on ne peut pas marcher sur l’eau; etc…) -la croyance en un dieu ou des dieux repose sur des illusions. (des études montrent par exemple que les gens qui croient en Dieu censurent la partie analytique de leur cerveau) -Les explications scientifiques du monde ne nécessitent pas l’intervention d’un dieu. Le big-bang, l’évolution, homo sapiens qui est un singe surdoué, l’esprit qui est un résultat des influx électrochimiques du cerveau… 3) )Mon athéisme moral Ici je vise les supposés dieux qui auraient envoyés des injonctions morales aux humains. -Les textes sacrés des dieux des diverses religions donnent matière à justifier misogynie, obscurantisme, tyrannie, esclavagisme, censure, persécution à l’égard des « mécréants », guerres de conquête, phallocratie, intolérance, etc… -Les textes sacrés des dieux des diverses religions sont pour la plupart très misogynes et homophobes. -Les textes sacrés des dieux des diverses religions sont pour la plupart en opposition avec les valeurs humanistes et progressistes qui se sont développées depuis le rationalisme et les Lumières. -Un dieu supposé omniscient, omnipotent et omniprésent ne devrait pas avoir à juger ou tester l’objet de sa création. -Un dieu supposé omniscient, omnipotent, omniprésent, plein d’amour et miséricordieux ne devrait pas créer un monde rempli de tant d’horreurs et d’injustices. -Ceux qui croient en un tel dieu se retrouvent ainsi à défendre des horreurs et des injustices Je constate qu’il n’y a aucune preuve de l’existence d’un dieu. Que les dieux supposés racontent des absurdités. Que la science, si elle ne répond pas à tout, propose déjà de répondre à beaucoup de choses, surtout qu’il n’y a pas besoin d’un dieu pour comprendre le monde. Les dieux supposés proposent des morales qui sont en opposition avec les idées humanistes et progressistes. Qu’il est préférable de penser, d’user d’esprit critique, et non pas de croire, d’autant plus croire en des dieux qui donnent des injonctions absurdes. Voilà, c’est très succinct, il y a plein d’autres raisons que je pourrais développer très longuement, mais c’est ce que je dirais pour résumer simplement ma position sur l’athéisme.

L’athéisme en 3 minutes

 

Vidéo pédagogique

Vidéo de la chaîne YouTube « Coexister » de 4 min en français

L’athéisme et le language

Il y a comme un problème avec les mots « athée » et « agnostique ». Des commentaires et des questions par dizaines nous ont montré que ces termes n’étaient pas bien compris par tout le monde. Et le dictionnaire n’est pas toujours d’une grande aide… Voici notre contribution à l’éclaircissement de ce que ces mots veulent dire aujourd’hui dans le contexte d’une conversation rationnelle.

Vidéo de la chaîne YouTube « La tronche en biais » de 9 min en français

 

Athéisme, Agnosticisme – Croire ou ne pas croire ?

Les mots « Athéisme »et « Agnosticisme » n’ont pas les les mêmes définitions, selon si on demande à un Athée ou à un Croyant. Ce qui crée de nombreuses incompréhensions.

Essayons en priorité de comprendre la position de l’autre, avant de lui mettre des étiquettes et de le juger en fonction de cette étiquette.

Vidéo de la chaîne YouTube « Hygiène mentale » de 22 min en français

 

 

L’Inexistence de Dieu – Raisonnement par Inférence

Existe-il des preuves de l’inexistence de quelque chose ?
Peut-on prouver l’inexistence de Dieu ?
Un autre exemple de raisonnement par inférences Bayésienne.

Vidéo de la chaîne YouTube de  « Hygiène mentale » de 28 min en français

 

 

Pourquoi  l’athéisme militant ?

« Je suis désolé si mon athéisme vous offense. Mais devinez quoi : vos guerres de religion, vos jihads, vos croisades, vos inquisitions, la censure de la liberté d’expression, le lavage de cerveau des enfants, le meurtre des albinos, les mariages forcés de filles mineures, les mutilations génitales féminines, la lapidation, la pédérastie, l’homophobie et le rejet de la science et de la raison m’offensent .Donc, je suppose que nous sommes quittes.  » Mike Treder

atheisme militant

L’échelle des

convictions

de

Richard Dawkins

THÉISTE CONVAINCU

100% de probabilité que Dieu existe

« Je ne mets pas en doute l’existence de Dieu, je sais qu’il existe »

 

THÉISTE DE FACTO

Probabilité élevée mais moins de 100 pour cent que Dieu existe

« Je ne peux pas le savoir avec certitude, mais je crois fermement en Dieu »

 

THÉISTE FAIBLE

Plus de 50 % de probabilité que Dieu existe

« Je suis très incertain, mais je suis enclin à croire en Dieu »

 

AGNOSTIQUE

Exactement 50 pour cent de probabilité que Dieu existe

« L’existence et la non-existence de Dieu sont exactement équiprobables »

 

ATHÉE FAIBLE

Probabilité inférieure à 50 pour cent que Dieu existe

« Je ne sais pas si Dieu existe, mais je suis enclin à être sceptique »

 

ATHÉE DE FACTO

Probabilité faible  mais plus de zéro  pour cent que Dieu existe

« Je ne peux pas le savoir avec certitude, mais je pense que Dieu est très improbable »

 

ATHÉE CONVAINCU

0% de probabilité que Dieu existe

« Je suis sûr à 100% qu’il n’y a pas de Dieu »

Ne pas craindre un dieu…

…une des plus grandes libertés

 

Une vidéo pleine d’inspiration de Jugurtha Aqvayli de 3 min

 

>>>

Ignosticisme

L’ignosticisme ou igthéisme est la position philosophique qui considère que toutes les positions théologiques s’avancent trop quant au concept de Dieu et d’autres concepts théologiques, incluant par exemple la foi, la vie après la mort, la damnation, la rédemption, le pêché ou l’âme.

L’ignosticisme consiste à dire qu’une définition cohérente d’un terme religieux ou théologique donné doit être présentée avant que les questions portant sur la nature ou l’existence du concept puissent être discutées.

Ignosticisme (Wikipedia)

 

Refus de divinités, une philosophie vielle comme le monde

« Les écrits religieux n’ont aucun sens et sont du bavardage infantile ». voilà ce qu’a proclamé Charvaka . Il est le premier et plus ancien penseur ayant exprimé une pensée athée . La date exacte est inconnue, située aux alentours du sixième ou septième siècle av J.C. La réalité historique n’est pas plus garantie que celle de Jésus-Christ.

L'histoire ancienne suggère que l'athéisme est aussi naturel pour les humains que la religion

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« Les gens de l’Antiquité ne croyaient pas toujours aux dieux »…

…ce qui met en doute l’idée que la croyance religieuse est un « paramètre par défaut » pour les humains.

 

Bien qu’ils aient été écrits sur de grandes parties de l’histoire, les athées ont prospéré dans les sociétés polythéistes du monde antique – soulevant des doutes considérables quant à savoir si les humains sont vraiment « câblés » pour la religion – suggère une étude.

Cette affirmation est la proposition centrale du livre de Tim Whitmarsh, professeur de culture grecque et membre du St John’s College de l’Université de Cambridge. Dans ce document, il suggère que l’athéisme – qui est généralement considéré comme un phénomène moderne – n’était pas seulement courant dans la Grèce antique et la Rome préchrétienne, mais a probablement plus prospéré dans ces sociétés que dans la plupart des civilisations depuis.

En conséquence, l’étude remet en question deux hypothèses qui alimentent les débats actuels entre athées et croyants : premièrement, l’idée que l’athéisme est un point de vue moderne, et deuxièmement, l’idée d’« universalisme religieux » – que les humains sont naturellement prédisposés, ou ‘câblé’, croire aux dieux.

Le livre, intitulé Battling The Gods , a été lancé à Cambridge le mardi 16 février 2016.

« Nous avons tendance à voir l’athéisme comme une idée qui n’a émergé que récemment dans les sociétés occidentales laïques », a déclaré Whitmarsh. « La rhétorique utilisée pour le décrire est hyper moderne. En fait, les premières sociétés étaient bien plus capables que beaucoup de contenir l’athéisme dans le spectre de ce qu’elles considéraient comme normal.

« Plutôt que de porter des jugements basés sur la raison scientifique, ces premiers athées faisaient ce qui semblait être des objections universelles sur la nature paradoxale de la religion – le fait qu’elle vous demande d’accepter des choses qui ne sont pas intuitivement présentes dans votre monde. Le fait que cela se produise il y a des milliers d’années suggère que des formes d’incrédulité peuvent exister dans toutes les cultures, et probablement toujours.

Le livre soutient que l’incrédulité est en fait « aussi vieille que les collines ». Les premiers exemples, tels que les écrits athées de Xénophane de Colophon (vers 570-475 avant notre ère) sont contemporains du judaïsme de l’ère du Second Temple et sont bien antérieurs au christianisme et à l’islam. Même Platon, écrivant au 4ème siècle avant notre ère, a déclaré que les non-croyants contemporains n’étaient « pas les premiers à avoir eu cette vision des dieux ».

Cependant, parce que l’histoire ancienne de l’athéisme n’est en grande partie pas écrite, Whitmarsh suggère qu’elle est également absente des deux côtés du débat actuel monothéiste/athée. Alors que les athées dépeignent la religion comme quelque chose d’un stade antérieur et plus primitif du développement humain, l’idée d’universalisme religieux est également construite en partie sur la notion que les premières sociétés étaient religieuses par nature parce que croire en Dieu est un « paramètre par défaut » inhérent pour humains.

Aucune des deux perspectives n’est vraie, suggère Whitmarsh : « Les croyants parlent de l’athéisme comme s’il s’agissait d’une pathologie d’une phase particulièrement étrange de la culture occidentale moderne qui passera, mais si vous demandez à quelqu’un de réfléchir sérieusement, il est clair que les gens pensaient aussi de cette façon dans l’Antiquité. »

Son livre passe en revue mille ans d’histoire ancienne pour le prouver, démêlant les diverses formes d’incrédulité exprimées par les mouvements philosophiques, les écrivains et les personnalités publiques.

Celles-ci ont notamment été rendues possibles par la diversité fondamentale des sociétés grecques polythéistes. Entre 650 et 323 avant notre ère, la Grèce comptait environ 1 200 cités-États distinctes, chacune avec ses propres coutumes, traditions et gouvernance. La religion exprimait cette variété, sous forme de cultes privés, de rituels villageois et de fêtes urbaines dédiées à de nombreuses entités divines.

Cela signifiait qu’il n’y avait pas d’orthodoxie religieuse. Les Grecs se rapprochaient le plus d’un texte sacré unificateur étaient les épopées d’Homère, qui n’offraient aucune vision morale cohérente des dieux, et les dépeignaient même souvent comme immoraux. De même, il n’y avait pas de clergé spécialisé pour dire aux gens comment vivre : « L’idée d’un prêtre vous disant quoi faire était étrangère au monde grec », a déclaré Whitmarsh.

En conséquence, alors que certaines personnes considéraient l’athéisme comme une erreur, il était rarement considéré comme moralement répréhensible. En fait, il était généralement toléré comme l’un des nombreux points de vue que les gens pouvaient adopter au sujet des dieux. Ce n’est qu’occasionnellement qu’il a été activement légiféré, comme à Athènes au 5ème siècle avant notre ère, lorsque Socrate a été exécuté pour « ne pas reconnaître les dieux de la ville ».

Alors que l’athéisme se présentait sous différentes formes et tailles, Whitmarsh soutient également qu’il y avait de fortes continuités à travers les générations. Les anciens athées ont lutté avec des principes fondamentaux que beaucoup de gens remettent encore en question aujourd’hui – comme la façon de traiter le problème du mal et la façon d’expliquer les aspects de la religion qui semblent invraisemblables.

Ces thèmes s’étendent des travaux des premiers penseurs – comme Anaximandre et Anaximène, qui ont tenté d’expliquer pourquoi des phénomènes tels que le tonnerre et les tremblements de terre n’avaient en fait rien à voir avec les dieux – jusqu’à des écrivains célèbres comme Euripide, dont les pièces critiquaient ouvertement la causalité divine. Peut-être le groupe d’athées le plus célèbre du monde antique, les épicuriens, a soutenu qu’il n’y avait pas de prédestination et a rejeté l’idée que les dieux avaient le moindre contrôle sur la vie humaine.

L’âge de l’athéisme antique a pris fin, suggère Whitmarsh, parce que les sociétés polythéistes qui le toléraient généralement ont été remplacées par des forces impériales monothéistes qui exigeaient l’acceptation d’un seul « vrai » Dieu. L’adoption du christianisme par Rome au 4ème siècle de notre ère était, dit-il, « sismique », car elle a utilisé l’absolutisme religieux pour maintenir l’Empire ensemble.

La majeure partie de l’énergie idéologique du dernier Empire romain a été consacrée à la lutte contre des croyances supposées hérétiques – souvent d’autres formes de christianisme. Dans un décret de 380, l’empereur Théodose I a même établi une distinction entre les catholiques et tous les autres – qu’il a classés comme dementes vesanosque (« fous déments »). De telles décisions ne laissaient aucune place à l’incrédulité.

Whitmarsh souligne que son étude n’est pas conçue pour prouver ou réfuter la vérité de l’athéisme lui-même. À la première page du livre, cependant, il ajoute : « J’ai cependant la ferme conviction – qui s’est durcie au fil des recherches et de la rédaction de ce livre – que le pluralisme culturel et religieux, et le libre débat, sont indispensables au bon la vie. »

Livre: « Combattre les dieux : l’athéisme dans le monde antique » par Tim Whitmarsh

livre Battling the Gods Atheism in the Ancient World

Quelle est la nouveauté de l’athéisme ? Bien que ses partisans et ses opposants la présentent aujourd’hui comme une invention des Lumières européennes, alors que les forces de la science et de la laïcité défiaient largement celles de la foi, l’incrédulité aux dieux provenait en fait d’un passé bien plus lointain. Dans Battling the Gods, Tim Whitmarsh voyage dans l’ancienne Méditerranée, un monde presque inimaginablement différent du nôtre, pour retrouver les histoires et les voix de ceux qui ont d’abord refusé les divinités. Whitmarsh fournit un antidote vivifiant à nos hypothèses sur les racines de la libre pensée. En mettant en lumière les mille premières années de l’athéisme, Battling the Gods offre un rappel opportun que l’incroyance a une riche tradition qui lui est propre et, en fait, ses propres héros.

Critiques et disponibilité sur Amazon

 

Sources en anglais:

University of Cambridge

ANCIENT DISBELIEVERS: Notable Freethinkers and Atheists from Ancient History to the Middle Ages

6 athées et agnostiques débatent des clichés concernant l’athéisme

Les Etiquettes en question:

  1. Les athées /agnostiques n’ont jamais cru en Dieu
  2. Les athées /agnostiques détestent les religions
  3. On ne peut pas être athée /agnostique et spirituel
  4. Les athées /agnostiques sont communistes
  5. Les athées /agnostiques veulent toujours prouver qu’ils ont raison »
  6. Être athée ou agnostique, ça ne dure qu’un temps

Vidéo de la chaîne YouTube de  « France TV-Etiquettes » de 29 min en français

Liens intéressants

Histoire de l’athéisme en occident

L’athéisme (Wikipedia)

La libre pensée (Wikipedia)

Un peu d'humour

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Tout croyant est un athée des autres religions

 

 

Un monothéiste doit nécessairement rejeter toute revendication de dieu autre que le sien. Pourtant, lorsqu’on lui demande pourquoi, il ne peut pas expliquer pourquoi son dieu existe et pas celui des autres, car tous ces autres dieux sont également impossibles à prouver.

 

 

Crédit dessin: Atheistcartoons

 

dieux furieux envers athées

« Dieu, s’il existe, est athée car il ne croit qu’un être suprême l’ait créé »

Anonyme

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humour sempé dieu nexiste pas
humour dieu a créé lathée
humour doeu a tout créé